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Bureau d’audiences publiques sur l’environnement

L'heure juste

AOÛt 2024

VUES SUR LE BAPE

UNE PERFORMANCE GÉNÉREUSE

Le Défi Vélo Plein Air, vous connaissez? Cet événement cycliste convie ses participantes et participants à rouler pour une bonne cause, de Montmagny à Rimouski, sur une distance de 240 ou de 315 km. Notre collègue Antoine Morissette, membre à temps plein au BAPE, a participé à sa 26e édition les 13 et 14 juillet derniers.


«C’est difficile, mais jamais autant que pour les personnes qui doivent recevoir des traitements afin de lutter contre un cancer», note-t-il. Une réflexion qui l’a habité tout au long de cette activité, à laquelle 118 cyclistes ont pris part.

Il y a quelques années, Antoine a commencé à pratiquer le vélo de route. «J’ai eu la piqûre et je n’ai jamais arrêté depuis», s’enthousiasme-t-il. Avec des escapades rapides et simples à organiser, cette option lui offre plus de souplesse que le vélo de montagne, un sport qu’il affectionne depuis longtemps. Il peut aisément parcourir de 30 à 40 km sur son heure de dîner.

Plus récemment, Antoine s’est rendu à vélo au bureau du BAPE à Québec… à partir de Rimouski! Devant ce tour de force, une amie, qui s’employait à réunir une équipe en vue du Défi Vélo Plein Air, lui a demandé s’il souhaitait participer. «Quand on roule en peloton, on est proche les uns des autres. On a intérêt à rester attentif. En plus, on va vite, jusqu’à 45 ou 50 km/h. J’avoue que ça m’inquiétait un peu. Je ne voulais pas ralentir le groupe. Alors je me suis entraîné», confie-t-il.

Résultat? «L’expérience a été très agréable. Il y avait un bel esprit d’équipe. Et puis, le long de la 132, les paysages sont magnifiques, poursuit-il. Le plus difficile a été la chaleur. J’ai bu de l’eau comme jamais dans ma vie.» Imaginez, la température dépassait la vitesse du véhicule de sécurité...

L’événement a permis d’amasser 155 706 $ pour l’Association du cancer de l’Est du Québec, qui offre des services d’hébergement, d’entraide, d’information et de soutien. Grâce, entre autres, à l’appui de ses collègues du BAPE, auxquels il exprime toute sa reconnaissance, Antoine est parvenu à réunir plus de 1000 $.

«C’est sûr que je rembarque l’année prochaine, conclut-il, avant d’ajouter: si l’équipe veut bien de moi, évidemment!»